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•••   É𝐜𝐨𝐭 𝐝𝐮 𝐒𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞   °°°

••• É𝐜𝐨𝐭 𝐝𝐮 𝐒𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 °°°

Dernier Vertige avant l'Oubli.


Erthal en son néant

Publié par Fil@ment, mode Provoc' ^^ sur 28 Mai 2009, 05:00am

Catégories : #*Fou d'aises & foutaises*


Ludwig van Beethoven, Symphonie N° 5,
Opus 67 - 'Allegro con brio'

          Des tableaux par milliers, des oeuvres d'Art,
dard-d'heurs perdus, doux leurres, tout Taler voire dollars ou du cochon,
qui ne s'en dédira plus parce que l'on drague, couine et gode self aux truies;
du soleil en pleine lumière sur l'ombre d'un doute,
qui Moabite en shahs persans et tapis idoines :
le fenêtre est ouverte sur un jardin de sauveurs immortels,
aux saveurs délétères et aux secondes immaculées,
purée de merveilles au puits de nos coffre-forescents
adoubés par l'intelligentsia arti-ficelle dont le melon
est loin d'être proche du néant d'Erthal.

                                                                                                    
          D'aucuns seront prêts à payer le prix fort,

d'autres tout près de pagayer le free porc,
pour peu que le prix en vaille la peine, et que la peine n'ait pas de prix,
que ton règne advienne et que ton vol honteux soit sanctifié, 

et surtout que les vases comme une icône communiquent leur miasme

aux radeaux médusés par la vase exhorbitée                                   
adossée aux saints lieux communs si afférents
à la lointaine proximité du néant d'Erthal.


          Souventes fois il pleut dans les galeries sans tain ni toit
qui glacent les sens exsangues d'un demain antérieur,
où la peste le dispute à la rage, mais la gale rit de sons
aussi tantalesques que l'art maniaque en bouteille jetée à l'amer,
quand ce n'est pas à des bouts d'ailes jetées à l'Alzheimer;
la colérique muse s'y enchevêtre avec le choléra qui s'amuse
de si pestilentielles toiles de jute en fiente véritable,
que l'or a dressées sur les voiles de pudeur haubannées par la foi
et que cochon qui s'en dédale cherche encore à voler,
sans se soucier des écarts nécessaires aux longs-courriers
qui sont autant de haut-vols que les turbans  de leurs Fatwahs amourescents
contre le folie ordinaire qui découle du musée des honneurs déchues,
percluses de peurs ancestrales et de victoires prochaines
que lambda viendra admirer en pérorant sur les contrées fertiles
où l'utile coagule autant avec le proche orienté vers le nord perdu
qu'avec l'oxydant déboussolé par sa propre décade Hans,
sans doute un autre frère trop proche d'un si loin néant d'Erthal.
Icare, foutredieu, viens donc nous voler pour de bon !?
(...)

 

(Tableau de René Magritte)

 

 

 

(Tableau de : René Magritte)

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P
Mais bien sûr qu'il n'y a jamais rien eu à comprendre, voyons...Entre les "Pompeux Cornichons", les "Bien Séants", "les Bien Pensants", etc..il y a nous, tout simplement. Et Nous, c'est EXTRAORDINAIRE : on n'a pas besoin de gens extraordinaires, puisqu'on l'est déjà...
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C
Si on ne comprend rien!
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F
<br /> Moi non plus ! Y a jamais rien eu à comprendre, de toutes façons.. ^^ <br /> <br /> <br />
C
lol..(finalement, on comprend rien, mais j'ai l'habitude avec toi !)
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C
Depuis Icare, nous avons toujours rêvé conquérir le ciel...ou s'envoler parfois...même et juste  un instant.Foutredieu!!;-)Bisous Rêveur.Cassy
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